20.12.2011 Fort de France.
Nous sommes heureux d'accueillir à bord : la soeur de Tor, son mari et leur 4 enfants. Vu qu’ils vont rester 3 semaines...
après 7 jours de partage et un chaleureux réveillon de Noël "à la Norvégienne"
Je " profite" de rendre visite à mon fils, Numa, à Buenos Aires.
J arrive à destination après 25h de voyage, vidée et déshydratée avec la grippe que nos visites nous ont ramené d 'Europe (sic) et je passe le jour de mon cinquantenaire à vider mes boyaux accrochée au lavabo ! Dur le passage des 50ème hurlant! Ha ha
A Buenos Aires, j ai eu la joie de faire la connaissance de mes "belle et petite filles" : Soledad et Corina; Numa s'est révélé être un guide doué et efficace!
Dans cette ville de 2 millions d'habitants (que le centre, 13 M. avec les provinces),
j’ai beaucoup apprécié :
j’ai beaucoup apprécié :
- la visite du théâtre Colon ayant la "meilleure acoustique" du monde !?!
- les cours et spectacles de Tango ;-) (Numa s'est galamment dévoué en partenaire mais ... difficile de danser avec un clown! Ha ha!),
- les parcs, l'entrainement " ultimate frisbee" avec Numa (bien longtemps que je n avais couru si vite!)
- la visite en bateau du "Tigre" estuaire du fleuve au nord de Buenos Aires
où une quirielle de privilégiés ont leur résidence secondaire et semblent apprécier la baignade malgré une eau qui me parait bien peu accueillante!
- les courses de chevaux à l hippodrome où l'on a parié pour la 1ère fois (bien compliqué pour les novices!)
-le coloré quartier "italien" de la Bocca ou les habitant récupéraient les fonds de peintures de bateaux laissés sur le port pour repeindre leurs maisons.
J ai trouvé les gens charmants et courtois. En fait, je viens de me faire une "réflexion" : quand on voyage, on rencontre énormément de gens charmants...;-))
Par contre j'ai la sensation d étouffer dans
cette mégapole où la moindre "course" nécessite au minimum 1/2 h de bus. Je me dis que j ai bien de la chance de vivre en mer, constamment en contact avec la nature et surtout loin du stress; quotidien, de millions d individus...
cette mégapole où la moindre "course" nécessite au minimum 1/2 h de bus. Je me dis que j ai bien de la chance de vivre en mer, constamment en contact avec la nature et surtout loin du stress; quotidien, de millions d individus...
Miguel, ami de la famille |
los cartoneros |
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